il n’y a aucune fatalité. Je refuse ce renoncement. Avec vous je veux construire la France qui se bat, et la France qui se relève.
Seule, droite, derrière son pupitre, encadrée par les deux colonnes portant son nom et son statut futur!
Le bleu, ici a remplacé le rose qu'a adopté Bayrou!
Après la parole du peuple, la sienne! Elle fait le point, la synthèse et patauge dans l'anaphore des je veux!
Quelques en vérité, pour faire bonne mesure biblique, et proclamer une autorité s'hypostasiant en charisme.
Tout est dans cette verticalité assumée: la promesse de l'ascension!
En attendant, la Pentecôte : tout le monde se parle, se comprend.
1) l'intégralité du discours ici
une rapide analyse de ce discours ici